•       Et oui, hier, premier novembre, c’était la fête de tous les saints. Alors ayons une pensée pour ces pauvres hères qui ont porté, ou portent ces quelques doux prénoms. Donc, bonne fête aux :
    BRIEUC … Pffff !
    MALO … ! … hmmmf !
    NAZAIRE … ! … bof !
    GAUBURGE ! … (Pauvre femme !)
    NECTAIRE … ! (Hmmmm !)
    EMILION … ! (encore que celui là … ).
    ESTEPHE celui là ausssi !
    MENEHOULD ! … (Encore une pauvrette !).
    FIACRE …Quelle affaire !
    FRUSQUIN ! … serait-il bien habillé
    GENOU ! … (Dans l’Indre). Héééé oui !
    PATERNE ! … mais peut-être brillant !
    GLIN ! … et son frère GLIN ! … (sans commentaire !)
    AIGNAN ! … DuponT ou DuponD !
    CÔME ! …(Et son frère PACÔME)  … étaient-ils jumeaux ?
    CYR ! … (Il a beaucoup été à l’école !).
    MAUR et sa sœur MAUR ! … sûrement des jumelles celles-ci !
    VAAST … et tendu ! …
    POURCIN ! … et heureusement pas pourceau !
    JOUIN ! … de Blavou s’il vous plait ! (un noble sans doute !)
    CIVRAN ! … (Encore dans l’Indre).
    SULPICE ! … il a peut-être été supplicié !
    SCOLASSE ! … (Une pauvre bretonne !).
    COLOMBE ! … (Son mari était un pigeon !)
    FRAIMBAUT ! … mais pas fringant !
    GUIRREC ! … il n’avait pas la danse de Saint Guy !
    SATUR ! … Nanron !
    FLOUR … pas fluo récent !
    BrEVIN… Pas long, hein !!
    MEDARD … peut-être l’inventeur de la douche !
    MARD … de RENO, ma chère ! Celui-là, peut-être un Marc qui jouait aux dés !
    ETC … ETC … ! Si vous en connaissez d’autres, lâchez vous !


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  •  

    L

     

    a surprise de la grise !!

     

          Titre énigmatique, mais qui trouvera son explication en son temps.

     

       L’histoire se passe au manoir de la Bernarderie sis aux fins fonds du Bas-Berry, aux confins de la Marche et du Limousin. Ce jour là, le comte Hubert Poqué du Haut Jussé et la comtesse allaient recevoir, à dîner pour les fiançailles de leur fille Gauburge, le gratin de la région. On attendait notamment Monseigneur l’Archevêque et monsieur l’abbé, Monsieur le sous-préfet et Madame, le conseiller général et Madame, Monsieur le Maire et Madame et puis quelques amis  et voisins, tous gens de noble qualité, et évidemment le fiancé Hector et ses parents, le baron et la baronne de la Guérinière.

     

          Or, au même instant, à la ferme jouxtant le manoir, ferme qui d’ailleurs était la principale source de revenus du comte Hubert, c’est dire son importance, or donc, disais-je, à la ferme se préparait …euh…comment dirais-je, un évènement important : La « Grise », Grisette pour la famille du comte, une superbe vache plusieurs fois primée au salon de l’agriculture, se trouvait,  dans un état intéressant, c'est-à-dire qu’elle avait ses chaleurs. Joseph Ligot, le métayer du comte, un personnage simple et bourru, mais dans le cas présent le vacher personnel de « Grisette ». (Enfin pour Joseph, Grisette, c’était : la grise, un point c’est tout), donc Joseph était chargé de veiller à ce que la Vache subisse de façon efficace, les assauts de Bijou le taureau, lui, pas encore primé au salon, mais on avait bon espoir au manoir.

     

          Donc ce soir là, alors que l’on attendait les premiers invités, le comte Hubert donnait les dernières recommandations à Joseph.

     

    « Joseph, mon ami, vous veillerez que tout se passe bien entre Grisette et Bijou, et surtout vous me tenez au courant. Mais attention discrètement. »

     

    « Ouais ! Que, M’sieur l’Comte se rassure, j’vas y veiller ! » dit Joseph. Et il repartit vers l’étable où l’on entendait déjà des mugissements, annonciateurs du bon déroulement des futurs ébats bovins.

     

          Puis petit à petit, les invités arrivèrent. Et tout le monde se pressa au petit salon où l’on allait servir les apéritifs et les toasts. La soirée s’annonçait bien, le sous-préfet discutait avec les politiques, Monseigneur et l’abbé parlait déjà de la future cérémonie, Gauburge s’installait au piano où son fiancé Hector la couvait des yeux, enfin il couvait surtout le décolleté de la donzelle. Celle-ci commença par une cantate devant les regards admiratifs de toutes ces dames. Bref la soirée battait son plein, Marinette la servante passait entre les invités et remplissait consciencieusement les verres de ces messieurs et proposait les toasts. Tout se déroulait normalement les joues commençaient à rosir.

     

          Puis la porte du salon s’ouvrit doucement, et la tête de Joseph apparut :

     

    « Pssiiitt ! … Pssiiitt ! M’sieur l’Comte ! » dit Joseph. Mais Monsieur le comte, n’entendit rien, occupé qu’il était à caresser les fesses de Marinette en se demandant ce qu’elle portait sous sa jupe ce soir. Alors Joseph éleva le ton :

     

    « PSSIIITTT ! M’SIEUR L’COMTE ! M’SIEUR L’COMTE, LE TAUREAU S’EST TAPE LA GRISE !! »

     

           Ces mots que tout le monde entendit, tellement Joseph avait parlé fort, provoquèrent une catastrophe, un mini-tsunami : La jeune vicomtesse fit 4 fausses notes et s’évanouit sur le piano, l’Archevêque qui prenait une bonne gorgée de cet excellent Kir, se renversa la coupe sur son habit, le sous-préfet et Madame qui avalait un toast au caviar, se retrouvèrent tout barbouillés d’œufs d’esturgeon,  enfin pratiquement tous les invités renversèrent quelque chose, même Marinette fit tomber un plateau entier de toasts au saumon. Monsieur le Comte, lui, ne renversa rien. Ben non, il n’allait pas renverser Marinette, là sur la table, ça ne se fait pas devant une pareille assemblée. Par contre, il se dirigea, furieux, vers Joseph, l’entraîna hors du salon, et lui dit :

     

    « Mais enfin, Joseph, vous êtes fou ! Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait ? »

     

    « Ben quoi ? Quo Donc qu’j’ai fait ? » dit Joseph.

     

    « Je vous avais dit de me prévenir discrètement !

     

    « Ben c’est c’que j’ai fait, mais M’sieur l’comte était occupé avec les fesses de Marinette ! » Répondit Joseph, vexé.

     

    « Oui, bon peu importe » dit Hubert, « Mais on ne dit pas : le taureau s’est tapé la grise devant les gens ! »

     

    « Ben c’est pourtant c’qu’y s’est passé ! »

     

    « Certes Joseph, je vous l’accorde, mais il aurait mieux valu dire autrement. »

     

    « Vous m’accordez quoi ? Et pis, qu’êque j’aurais du dire d’abord ? »

     

    « Je ne sais pas moi ! … Quelque chose comme …euh…. Tiens, vous auriez pu me dire : La grise a été surprise ! Voilà ! »

     

    « Surprise … surprise ! Tu parles d’un coup. Mon œil, ça alors ça m’étonnerait »

     

    « Oui bon ! C’est ce qu’il faudra me dire. Joseph, vous retournez à l’étable, et si l’affaire se reproduit, vous revenez me prévenir en disant : la grise a été surprise. »

     

          Joseph repart en maugréant, et le comte retourne dans le petit salon où l’on s’affaire, en commentant l’évênement :

     

    « ça alors, quelle éducation, ces gens ! Ils ne savent pas ! Vous vous rendez compte ! », devant une enfant innocente … » etc etc etc. … Et l’on ranime la petite vicomtesse, ce qui permit à Hector, le gentil fiancé, de peloter discrètement la douce enfant. On nettoya les divers habits tachés, « c’est du bon vin, ça ne tache pas ! » Marinette remit tous les toasts dans le plateau, le Comte s’est remis à la peloter, les discussions ont repris où on les avait laissées, la jeune donzelle termina son petit concert, et enfin le majordome annonça :

     

    « Ma dââme la comtesse est servie ! » Et tout le monde passa dans la salle à manger.

     

          Le repas se déroula très bien, les trognes de ces messieurs virèrent au rouge, il faut dire que la cave de la Bernarderie avait une bonne réputation dans la région. Ces dames, elles, papotaient, chiffons, robes de mariée, cérémonie et frivolités, comme les femmes savent le faire. Le fiancé et le comte Hubert avaient, tous deux, une main baladeuse ce qui ne les empêchait pas de participer aux conversations. (C’est tout un art !).

     

          Et puis, … et puis, la porte du salon s’ouvrit et Joseph apparut tout excité et déclara péremptoirement :

     

    « M’SIEUR L’COMTE ! M’SIEUR L’COMTE ! LA GRISE A ETE SURPRISE !! L’TAUREAU Y S’EST TAPE LA BLANCHE !!!! »

     

          La soirée fut foutue !

     

     

     

          Finalement, Il n’y a pas eu que la grise à avoir été surprise !

     

                                                      Emil Antic …

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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          C’est compliqué de contribuer à la connaissance des cons, je le confesse ! Mais comprendre complètement la conscience des cons, c’est constater la constipation déconcertante de leur cerveau. Vouloir comparer un con inconnu avec un nain connu, c’est contribuer à la compression. C’est déconcertant non ? Mais si vous voulez converser avec un con, il faut comprendre la faconde de leur conscient inconscient, et ça, c’est compliqué. Par contre, contrer un con, ça peut le contraindre à se consacrer à un comportement moins con !! (Pas con l’Emil !).(mais fatigant, pour Tsitsi).

     

          Cependant, le concurrent qui serait le concubin de la conjointe d’un confesseur, se comporterait-il comme un contribuable complètement décontenancé par sa trop grande contribution à une comptabilité parfaitement incongrue ? … ? Non ? … 

     

                                  Si !

     

    Mais alors, si je comprends bien, un con congelé en toute conscience, aurait-il fait confiance au comportement d’un concubin complètement incontrôlable et qui l’aurait condamné sans même connaître la contradiction qu’il y a entre un comprimé et une gélule ?? (tiens, qu’est-ce qu’elle vient faire là, celle là ?). Oui, parce que : une congélule, ça n’existe pas !!!(Par contre, une lib…, si !!! Dixit Tsitsi !).

     

          Et les combattants, alors ? Les combattants, quand ils ne sont pas convaincus, sont comprimés. Mais primer un combattant vaincu, c’est consternant, non ? Quiconque conclut un combat sans convaincre, se doit de convenir qu’il est un convaincu et devra se soumettre à la confession, et il sera contraint  de subir la condamnation. (C’est l’enfer du devoir !).

     

          Enfin, si un con se tâte la prostate et qu’il constate qu’il a une patate, il peut considérer qu’elles sont cuites … les patates !!!! (Evidemment c’est moins drôle !

     

          Bon, si vous n’avez pas tout compris, il faut vous compromettre et relire le délire d’Emil … . D’ailleurs sachez que je me suis compromis moi-même, je me suis relu,  et, … eueueuh, … j’ai pas tout compris !.

     

                                                       Emil Antic … (mais parfois proc …)

     

    PS de Tsitsi : Si, si, je vous assure, il est normal !!!

     


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  • DIVAGATION A LA CON !
          Si on considère qu’il  est con ce type, ça ne sous entend pas forcément qu’il soit considérable, ni qu’on puisse le sidérer. Mais dans cette affaire, de quelle constipation parlons nous ? D’une constipation provoquée par une congestion des voies intestines due à une crise de contrariété ? Ou bien  d’un type de contestation concernant  les complications contraire aux circonvolutions combinatoires de convergences ? … … C’est cela, toute la complexité de la confession du condamné.
    Mais alors, qu’en déduisez vous, vous mes confrères ? (Et par confrères, j’entend : frères d’un con : moi !)
    De toute façon, ou de toute contrefaçon, cette constipation entraînera inéluctablement un embouteillage du colon, qu’il soit ascendant, condescendant ou transverse ! (C’est pas des conneries ça !) Il faut se conduire convenablement conformément aux contrôles continuels des contractuels qui contraignent les contrevenants à se compromettre  dans des contradictions complètement inconvenantes, ce qui est un comble, vous en conviendrez !
    Concernant les contradictions contraires aux convenances, il faut considérer d’un œil concupiscent la complexité d’une convention complaisante dans la conduite considérablement conformiste contraire à la connaissance de la mise en conformité avec la contradiction  circonvenante !!!! (Ainsi soit-il !)
    Et voilà ! … C’est assez clair non ? … Alors qu’en concluons nous ? Tout simplement :
    Qu’il est con ç’type ! …Amen !
                                                Emil Antic … (le dingue !)
    Ps de Tsitsi : Oui oui, je sais, j’ai du mérite !!!... C’est consternant !!! lol


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  • Ce satané Rolf quand même , il ne manque pas d’air. !
                J’ai entendu cette histoire, au radio-réveil, un certain matin (pour ne pas dire un matin certain), alors que Tsitsi, mon épouse bien aimée, et moi «grasse-matinions» de concert. (Oui, je ne vois pas pourquoi je n’inventerais pas, moi aussi, des néologismes, et je trouve que le verbe : «grasse-matiner» devrait exister !) …
                Donc, ce matin là, nous grasse-matinions gentiment, alors que le radio-réveil débitait son lot de fadaises matino-habituel, lorsque soudain mon attention fut attirée par une histoire que je qualifierais d’insolite. Je vais tenter de vous la narrer de mon mieux. (Je dis : tenter, car la grasse-matinée est un état peu propice à une attention vigilante, à moins que ce ne soit à une vigilance attentive). … Donc voilà les faits :
                Rolf, … je ne sais plus comment, un ressortissant allemand, (il n’y a pas de sotte nationalité) vient de porter plainte contre sa … «fiancée». « Pourquoi » me direz vous ? Et bien c’est toute la saveur de l’histoire, je vous narre.
                Ce brave Rolf donc, avait convié sa … « fiancée » à un dîner aux chandelles dans un gastro-restaurant. (Mais non !! Un gastro-restaurant c’est un restaurant gastronomique, pas un restaurant où l’on attrape  une gastro-entérite !!! … M’enfin !!) Le dîner se passa à merveille, tous les mets étaient succulents, le champagne de qualité et la soirée touchait à sa fin. Rolf raccompagna sa « fiancée » jusque chez lui dans sa luxueuse limousine, pour un dernier verre sans doute,  … et plus si affinité. … Mais voilà. … Une fois dans la chambre, la «soit disant fiancée» refusa tout net la botte que lui proposait gentiment ce galopin de Rolf. En un mot, elle ne voulut pas coucher !!! … Et vous ne savez pas sous quel prétexte ? … Non ?? … Et bien elle refusa la partie de jambes en l’air sous le fallacieux prétexte que Rolf avait 77ans et elle seulement 19 !!! Non mais quel toupet !!
                Du coup Rolf, lui, porta plainte contre cette «fiancée indélicate», pour rupture de contrat, arguant qu’il y avait un contrat moral entre eux, et qu’elle l’avait rompu sous couvert de discrimination lié à son âge. Rolf pense que la « Gretchen » n’a pas voulu coucher parce qu’il était trop vieux !! … Inconcevable, alors qu’il avait sans doute pris 2 pilules de Viagra !!!
    LOL LOL LOL et RE-LOL !!!
                                                                 Emil Antic …(ontradiction !)


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