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    Chapitre 26.

     

     

     

          Je ne connaissais pas la vie de Louis 13, mais en lisant divers documents, je m’aperçois que ce bonhomme n’a pas toujours eu une vie marrante.

     

          De santé fragile, ses débuts furent difficiles. (Ça rime !). Il fut élevé au château de Saint Germain au milieu des bâtards de papa Henri 4, et ces garnements, ne furent pas toujours tendres avec lui. Et puis, quand Loulou alla vivre avec papa, celui-ci fut assassiné, il avait alors 9 ans. Pas drôle tout ça. Pendant la régence de maman Marie, (…de mes 10-6, je vous le rappelle), il fut effacé, normal, il était jeune. Mais en plus il était timide, ses frères étaient de véritables emmerdeurs, et ça ne faisait que commencer. Et puis à l’âge de 14 ans, voilà-t-y pas que la Marie décide de le marier avec une austro-espagnole. Et chacun sait que : autant les portugais sont gais, autant les espagnols sont gnols !.

     

    Une parenthèse pour dire que Anne d’Autriche était la fille du roi d’Espagne, (un Philippe … je ne sais plus combien), et d’une Elisabeth d’Autriche. (comme Sissi). … Je me demande si cette Elisabeth là, ne serait pas la reine d’Espagne qui discute avec «der papagei», (le perroquet en allemand), dans la Folie des Grandeurs, film de Gérard Oury avec Louis de Funès et Yves Montand.

     

          Donc c’était sûr, ce mariage devait foirer. Ça a commencé le soir des noces. Les époux étaient tellement inexpérimentés, et tellement pas mis au courant des us et coutumes du lit, que ce fut un fiasco. … Je vous rappelle qu’Henri, était mort avant de mettre le fiston au courant ! De ce fait, Louis en fut très affecté, et il ne remit plus les pieds ni le reste, si j’ose dire, dans le lit de la reine pendant un certain temps. Cependant les affaires reprirent après qu’il se soit débarrassé de Concini, (l’amant de la reine mère), puis qu’il ait mis maman au pas. Il s’ensuivit une période heureuse pendant laquelle il devint très amoureux d’Anne. Malheureusement la reine n’arrivait pas à avoir d’enfants. Elle faisait des fausses couches, quand elle ne tombait pas dans l’escalier… ! Louis en concevait de la rancune, et  notamment à la suite de cette chute, il vira promptement l’entourage de la reine : la «Chevreuse», (C’est le nom d’une dame de compagnie, et pas celui d’une chêvre !) qu’il considéra comme responsable. En plus, la Chevreuse encourageait la reine à ourdir des complots contre Richelieu, le premier ministre de Loulou. (Ça va ? Vous suivez ?).

     

          Et alors, vous allez voir où ça va se nicher la politique. Comme la reine n’arrivait pas à faire d’enfants, il n’y avait pas d’héritier au trône de France !! Du coup qu’est ce qui se passa-t-il ? Et bien les frères du roi se dirent : « Et pourquoi pas nous ?!! ». Du coup, complots, ourdissements, et même  tentative d’assassinat, …  etc, etc … ! … Bref, la totale.

     

          Vous voyez le topo : le roi, malgré tout, amoureux de la reine ; la reine quelque part un peu délaissée qui ourdit contre Richelieu et qui aurait eu un faible pour Buckingham, un duc anglais ; et, enfin, les princes qui, eux, ourdissent contre le Roi et Richelieu. !... ! Tout ça est propice à la trame d’un grand roman d’aventures. Non ?? Ce fut le feuilleton qui tint en haleine les lecteurs d’un journal du XIXième siècle, feuilleton écrit par Alex Dumas père, j’ai nommé : l’étroite Moustiquaire.

     

          Hein ? Qu’est ce que tu dis, Tsitsi, mon épouse bien aimée ?? ça n’est pas l’étroite moustiquaire ? Hein ? Ah mais oui ! là dis donc !! Tu as raison, bon sang, c’est bien sûr, c’est : les trois moustiquaires. … Hein ? … Non plus ? … Comment ? … Ah oui, tu as raison, comme toujours. c’est les TROIS MOUSQUETAIRES, évidemment. … (Ma dyslexie ! qui a encore frappé !).

     

          Alors là, les gars, (les filles aussi), il faut dire un mot de ces 3 mousquetaires. En fait il y a 4 héros, mais le principal, d’Artagnan, n’était pas mousquetaire, du moins dans le premier chapitre de la trilogie. (Un rappel, la trilogie se compose de : «Les trois mousquetaires», puis «Vingt ans après», et enfin «Le Vicomte de Bragelonne»).

     

          Alors voilà : D’Artagnan, gentilhomme gascon plus ou moins ruiné, monte à Paris pour s’engager dans les mousquetaires du roi. En arrivant à Paris, il a des mots, successivement,  avec 3 gentilshommes qui le défient en duel. Le soir venu, alors que tout ce petit monde se retrouve pour les combats, ils eurent maille à partir avec les gardes du cardinal qui avaient pour mission d’interdire les duels : ordre du cardinal de Richelieu. Ainsi, au  lieu de se battre entre eux, nos héros foutent une dérouillée aux gardes cardinalesques. (Renaud Marie en tête. Hé oui, toujours lui, le méchant des films de cape et d’épée.). Après cette passe d’armes, les quatre contrevenants se lient d’une amitié éternelle avec pour devise : « Un pour tous, tous pour un ! ».. « Contrairement à ma devise qui est : « Un pour tous, tous pour moi ! ».

     

           Voila donc le quatuor formé : d’Artagnan, Athos, Porthos et Aramis. Voilà les 4 individus qui firent tourner en bourrique le brave Armand Jean du Plessis en un mot, le cardinal de Richelieu. Pour sauver l’honneur de la reine, ils vont se mettre dans des situations rocambolesques. (Et pourtant, Rocambole n’était pas encore né !). Après être passé sur le lac de Constance, d’Artagnan accompagné de ses trois amis, vont courir en Angleterre à la recherche de Léo Ferré que la reine, Anne d’Autriche, avait envoyé à Londres pour visiter le palais de Buckingham. (Quand je vous disais que c’était rocambolesque !). Je crois bien que Léo Ferré n’eut même pas le temps d’assister à la relève de la garde à 17 heures !!! Enfin, les 4 z’amis ont ramené Léo Ferré à temps à Paris pour ouvrir le bal avec la reine. Il paraît que le roi fut content, mais que le cardinal en fit une jaunisse, un comble pour l’homme en habit rouge. (Un copain de Barbara peut-être ?).

     

          Après ça, nos héros ont eu des ennuis avec une demie mondaine anglaise, une demi lady, qui était l’espionne du cardinal après avoir épousé Athos et fait assassiner une petite femme de chambre qui travaillait au «paradise-Hôtel», qu’on appelait, une bonne à cieux parce qu’elle envoyait les clients au 7ième ciel, et qui en plus était la copine de d’Artagnan. … Vous voyez, c’est triste. Mais rassurez vous, la demi lady, ils l’ont zigouillée.

     

          Hein ? Quoi ? Je prends des libertés avec Alexandre Dumas, moi ?? Et lui alors ? Il ne prenait pas des libertés avec l’histoire peut-être ?

     

     

     

    Bon j’’arrête, je fatigue, on se retrouve la prochaine fois pour de nouvelles aventures.

     

    A suivre !

     


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    Chapitre25.

     

     

     

          « Le roi est mort ! » Son assassin a été châtié. C’est cet assassinat qui a fait la légende du bon roi Henri. Peut-être pas aussi bon que cela. Il a inventé l’absolutisme, il a calmé les révoltes paysannes sous le couvert de la ‘poule au pot’, il n’a pas fait que des ‘heureux(-ses)’, … il a fait aussi beaucoup de cocus. Bref, tout ça pour dire que ce n’est pas étonnant si il a été assassiné, ce brave Henri. Cependant on parlera toujours de lui avec bienveillance grâce à son ‘panache blanc’, sa ‘poule au pot’ et ses ‘mamelles’ : labourage et pâturage. Ce 14 mai 1610, on cria : « le roi est mort ! Vive le roi ! ». On se tourna, comme chaque fois vers le dauphin, Louis, et on constata alors qu’il n’avait que 9 ans. Ce P’tit Louis, était, paraît-il un enfant timide, qui avait été élevé avec ses frères et sœurs et les bâtards de son père à Saint Germain. En outre,  il était de santé fragile, du coup,  la reine mère se frotta les mains avec lesquelles elle s’empara de  la régence. Elle installa son favori, un nommé Concino Concini, (1) à la tête du gouvernement, après  l’avoir nommé maréchal de France. C’est lui le maréchal d’Ancre. … Et pas d’Encre ! D’ailleurs, à propos d’ancre, je ne pense pas qu’il ait été matelot le Concini !(Il était  con ce cynique !).

     

          Donc, en 1615, la reine mémé, maria son fils Louis, à Anne d’Autriche. Ce qu’il y eut de curieux, c’est que ce mariage fut célébré en 2 fois. Un premier mariage, sans lui, je veux dire sans Louis, il était représenté par … euh … un guignol dont j’ai oublié le nom ; et un deuxième mariage, officiel celui là, à Bordeaux et, avec lui, je veux dire avec Louis cette fois.

     

          Le roi était majeur, il aurait pu régner, mais la vieille Marie de Médicis déclara son fils malade et incapable d’exercer ses fonctions de roi. Il n’avait pas, paraît-il assuré pendant la nuit de noces. Ça va le poursuivre longtemps, il n’assurera pas souvent avec la reine son épouse, et l’héritier se fera attendre. Du coup, les frères, Gaston en tête, lui feront aussi des misères. Pendant 2 ans, il s’en fichera du pouvoir, il chevauchera, chassera, prendra du bon temps, enfin on le pensa, mais un jour de 1617, il en eut ras le bol des lazzis, des quolibets, et des complots ourdis contre tout et tous, bref il décida que : « ÇA SUFIT ! Y EN A MARRE DE TOUT ÇA !! ». Il alla trouver Vitry, un de ses gardes du corps, et lui commanda de trucider le Concino Concini, qu’il trouvait plutôt Con que cini. Le Vitry ne bricola pas (lui non plus), il tira deux coups de pistolet sur le Concini et le raya de la surface de la terre. … Et hop là ! Tagada tsoin tsoin !

     

          Louis devint alors Louis 13 et fit enfermer maman à Blois. Non mais !!!

     

          Et bien vous ne le croirez pas, la reine mère va s’évader de Blois, et fomentera une révolte contre son fils. La bagarre durera un certain temps, puis l’armée de maman prendra une déculottée, et finalement, Louis et sa mère se réconcilieront sous la férule d’un certain : Richelieu. Richelieu, Armand Jean du Plessis cardinal de… !! On ne peut pas parler de Louis 13 sans parler de Richelieu. Il était entré au gouvernement de Concini poussé par Marie de Médicis. Il la suivit à Blois pendant sa disgrâce, mais pendant la bagarre entre la mère et le fiston, le matois, se débrouilla pour réconcilier les deux partis et se fit bien voir par le roi. C’est ainsi qu’il devint premier ministre. (On dit qu’il fut le premier premier ministre dans le monde). Il fut 1er ministre de 1624 jusqu’à sa mort en 1642, et pendant ce temps là, il n’eut de cesse de combattre les nobles, les protestants et les Habsbourg. (Très éclectique dans le choix de ses ennemis le bonhomme !). Pour arriver à ses fins, il ourdit, complota rusa … etc, etc…  (En un mot, il agit en homme d’église !!).Il inventa la ‘raison d’état’. Cela lui valut une réputation sulfureuse.

     

          Il réduisit les protestants en prenant La Rochelle après un fameux siège.

     

          Il fit plier les nobles, interdisant notamment les duels. (Nous verrons que d’Artagnan et ses copains auront des problèmes avec lui), il en fit assassiner quelques uns, des nobles. Dont le marquis de Cinq Mars, (lui je m’en souviens parce qu’il a un nom rigolo.)  Il a fait détuire de nombreux châteaux forts.

     

          Enfin il fit la guerre de trente ans, (ainsi nommmée car elle dura 30 ans, … subtil non ?), contre les Habsbourg, allant jusqu’à s’allier avec des rois protestants …pour arriver à ses fins !!! (Quand je vous disais qu’il avait agi en homme d’église !!!). Il finit par agrandir le royaume d’une façon significative. Sous sa férule, on ajouta à la couronne : le Béarn, la Navarre, la Catalogne, le Roussillon, la Savoie, le Piémont, le Hainault et la Lorraine. (Excusez du peu ! … Elle n’a pas bricolé, l’éminente Eminence !) Ceci dit, il a amassé une fortune considérable. Il eut même le droit de construire une ville qui porte son nom.

     

          Mais n’oublions pas qu’il a créé l’Académie Française. C’est tout le personnage, ça !

     

                                                    A suivre

     

     

     

     (1)Alors là les gars, (les filles aussi), si vous voulez des détails sur la période Concino

     

     Concini, je vous conseille le magnifique  film d’André Hunebelle : Le Capitan, avec le célèbre Jean Marais, le formidable Bourvil, et l’inénarrable Renaud Marie dans le rôle du méchant.

     

     

     

          LA SEMAINE PROCHAINE :

     

    LES 3 MOUSQUETAIRES ET LEURS DEBOIRES AVEC L’EMINENCE ROUGE

     


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    Chapitre 24.

     

     

     

          1589. Quand Henri 3 succombe à ses blessures, on cria bien : « Le roi est mort ! », mais on n’ajouta pas : « Vive le roi ! ». Les habitudes se perdraient-elles ? Nenni. Mais, «on», c'est-à-dire les hautes instances du royaume,  n’étaient pas d’accord sur le nom du successeur. Riri avait bien désigné son lointain cousin, Henri de Navarre, mais les catholiques n’en voulaient pas, car le navarrais était un protestant, converti plus ou moins au catholicisme, et puis redevenu protestant. Sans doute était-il de caractère changeant ! (Comme pour les femmes comme nous le verrons). Finalement il se convainquit qu’il valait mieux abjurer sa religion pour devenir roi de France. « Paris vaut bien une messe ! » dira-t-il. La ligue des catos ne le reconnut point, il ne put donc être sacré roi à Reims. Qu’à cela ne tienne, Henri alla se faire sacré à Chartres ! Non mais sans blague ! (C’était quand même pas une bande d’extrémistes qu’allait faire la loi !). …  Le voilà donc roi de France sous le nom de : Henri 4.

     

          Ce fut un roi bon vivant, on prétend qu’à sa naissance son père lui aurait frotté les gencives d’ail et de jurançon, ce qui lui aurait donné le goût de la bonne chère. Comme il aura aussi le goût de la bonne chair, (les femmes pas la messe), on se demande ce que son père a bien pu lui frotter … et avec quoi… !!! ?? En tout cas, il sentira l’ail toute sa vie, et il paraît même qu’il sera couvert de morpions des pieds à la tête, jusque dans la barbe, la moustache et les sourcils !!! Mais ça c’est peut-être des ragots.(Comme quoi, le morpion aime l’ail !).

     

          Coté action, il batailla contre les catholiques, contre les protestants, comme ses prédécesseurs, mais lui il finit par faire la paix, la vraie ! ça avait commencé par la formule : « Ralliez vous à mon panache blanc ! », pour se terminer par l’Edit de Nantes. (A ne pas confondre avec l’Edith Piaf !!). Ce célèbre édit, autorisait, grosso-modo, la pratique des différents cultes qui sévissaient à l’époque. C’était un énorme progrès, car cela allait mettre un terme aux guerres de religion. … Malheureusement pendant un certain temps seulement, l’humanité est ainsi faite, qu’elle défait toujours ce qui a été fait ! (Et lycée de Versailles, .. eueueuh non, … vice versa !).

     

          Henri voulut du bien pour son peuple. Il voulut que les paysans aient leur poule au pot tous les dimanches. C’est peut-être pour cela qu’il rattacha la Bresse au royaume. A l’époque, il ne pleuvait pas de cygnes, Hyacinthe Hennin, on ne connaissait pas !! (Et moi, je ne connais pas la recette … ! … Oui, je sais, honte à moi !!!)

     

          Et puis il eut l’excellente idée d’embaucher Sully. (Sully, avec un nom pareil, il ne pouvait que plaire au roi, lui qui écumait les dessus-de-lit de ces dames !!). Bref, ce bon Sully, placé aux finances, redressa le trésor qui partait en quenouille. En plus il favorisa l’agriculture par une formule magique qui révolutionna le monde paysan, il avait dit : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France».   (Il paraît qu’Henri 4 chercha longtemps les mamelles de la dénommée France … ! Elles ont du finir par sentir l’ail). Finalement, ce couple  de politiciens finit par faire du pays de France une puissance avec qui les autres nations  durent compter.

     

         Coté vie privée, vous aurez compris que le père Henri n’était pas au chômage. Il pratiquait le droit de cuissage. Il n’autorisait les mariages qu’à condition de tester la mariée le premier. Il y eut des grincements de dents, des fâcheries et des emprisonnements, mais dans l’ensemble, le roi arrivait à ses fins. (On ne comptait plus le nombre de morpions !). Enfin malgré son teint verdâtre, son haleine fétide et ses petites bèbêtes, il eut des conquêtes. Sa première épouse, Marguerite de Valois, la reine Margot, (Isabelle Adjani soi même). Il divorça parce qu’il voulait  épouser sa favorite Gabrielle d’Estrées, (pas un prix de beauté, d’après Tsitsi, mon épouse bien aimée), mais ça déplut à certains, puisque la Gabrielle mourut empoisonnée. (Comme je le dis souvent, on ne bricolait pas en ces temps farouches, et puis si on avait inventé les poisons, on n’avait pas inventé les experts !). Du coup, il se rabattit sur une princesse italienne, Marie de Médicis, dont le père était un gros créancier de l’état français. Ce mariage contribua donc à l’assainissement des finances du royaume, en épongeant la dette due à beau papa. Marie de Médicis donnera au roi Henri de nombreux enfants. (Dont le futur roi Louis 13, né en 1601). Et ceci lui laissera du temps libre pour aller butiner ailleurs. Il fit ainsi la connaissance d’Henriette de Balzac d’Entragues. Celle-ci complota contre lui, et donc, elle dût mal finir, mais alors très mal. Je n’ai rien trouvé à ce sujet.

     

          A part ça, c’est sous Henri quatre que commencèrent les premiers travaux dans Paris. On perça des nouvelles rues, on construisit le pont neuf. Il existe toujours aujourd’hui, il est moins neuf qu’à l’époque, mais toujours aussi solide. On n’oublia pas d’ériger une statue à la gloire du bon roi Henri. C’est également à ce moment que l’on vit naître les tapisseries des Gobelins et les grandes verreries. Et puis Champlain fonda Québec.

     

          Tout allait bien au royaume d’Henri IV, il préparait une guerre contre les Habsbourg ou les Espagnols, je ne sais plus, lorsque, un jour de mai 1610, le 14 précisément, rue de la Ferronnerie, il y eut un embouteillage… ! Normal me direz vous. Pas sur, en ces temps il n’y avait pas autant de circulation qu’aujourd’hui. Toujours est-il que ce 14 mai 1610, il y aura bientôt 400 ans, (comme pour le pont de Potinville), le carrosse royal fut coincé dans un embouteillage. Dans une cave, un embouteillage eut fait plaisir au père Henri, mais rue de la Ferronnerie, pas du tout !! En effet, profitant de l’immobilisation du carrosse, un grand rouquin, (à l’époque, un rouquin, c’était le diable), se pencha à la portière et frappa le roi de deux coups de poignard. (Les rois sont toujours frappés avec un poignard. Le couteau, c’est une arme pour tuer les petites gens). Ravaillac, il s’agissait de lui, fut arrêté sur le champ. On emmena le roi jusqu’au Louvres où il mourut quelques minutes plus tard. On en profita pour crier : « Le roi est mort ».

     

          Du coup, la guerre prévue pour le 19 mai n’eut pas lieu. (En 2003, les américains auraient du se rappeler de cet épisode de l’histoire de France, ça aurait évité les problèmes en Irak). Et le 27 mai on écartela François Ravaillac. Ça ne se passa pas aussi facilement qu’on eut pu le croire, car les quatre chevaux chargés de la besogne n’arrivèrent pas à disjoindre les membres du condamné. Il faut dire que le dénommé Ravaillac était une force de la nature, un costaud des épinettes. Alors pour procéder à l’exécution, on trancha dans le vif, c'est-à-dire qu’on tailla les tendons des quatre membres, et on réussit à démanteler le coquin de rouquin. …

     

    Ah mais ! … (Comme quoi, la persévérance est toujours récompensée !)

     

     

     

    C’est tout pour aujourd’hui. … à suivre.

     


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    Chapitre 23.

     

     

     

          Je vous avais laissé à la mort de François 2, et, comme d’habitude, selon le protocole de l’époque, on cria donc : « Le roi est mort ! Vive le roi ! ». On se tourne alors vers la succession. Et là, horreur, pas d’enfant, François 2 n’avait pas eu le temps d’en faire (ça serait bien le seul roi à  … enfin bref !). «On» se tourna donc vers le frérot, Charles. Et là, il fallut baisser les yeux, car le Charlot n’avait que 10 ans. Il était par conséquent un peu trop jeune pour régner, c’est Madame Mère, Catherine de Médicis, (et non pas Catherine de mes 10. 6), qui assura la régence, (Et je vous assure que ça ne fut pas à contre cœur !). Elle régna seulement pendant 4 ans, car le petit Charles décida qu’à 14 ans, il était majeur et en âge de régner. Ah mais ! (Comme quoi, à cette époque, les ados ! … Bref !!).

     

          Il prit le doux nom de «Neuf», Charles 9, monsieur le Neuf, comme les téléphones internet. Son règne donc, qui dura jusqu’en 1574, fut émaillé par les guerres de religion. D’un côté les catos emmenés par les « Guise », et de l’autre, les « réformés », les protestants, emmenés par Condé, (encore un), avec comme équipier l’amiral Coligny. (Mais tout ça, ça n’était pas pour une coupe du monde !!). Il y eut 2 ou 3 guerres de religions entrecoupées de trève. On se bat, on s’étripe, puis on signe un traité, puis quelques connards s’engueulent, en viennent aux mains, et la guerre recommence. (C’est tout l’homme, ça !!). Et puis Charles 9 en eut un peu marre, et il décida qu’il fallait faire la paix. Ce ne fut pas du goût de tout le monde, entre autres les « Guise », et peut-être maman Catherine. Alors on fit croire au roi, que Coligny et sa bande allait faire un coup d’état, ou quelque chose comme ça. (Houououou ! Que c’est vilain !!!). Comme le Charles ne savait pas toujours ce qu’il voulait, il changea d’avis, et plutôt que de serrer la main de Coligny, il laissa les sbires des «Guise» l’assassiner. Ça ne fut pas joli, je vous narre : …

     

          Un soir, des hommes en armes se présentent chez Coligny. On abat la porte, on monte l’escalier, là on rencontre des serviteurs, qu’à cela ne tienne, on massacre tout le monde. Puis on entre dans la chambre de l’amiral, il est au pied du lit en chemise de nuit. Un des hommes s’apprête à lui passer son épée au travers du corps, Coligny lui dit : « Jeune homme, respectez un peu la vieillesse ! », ou quelque chose dans le genre. Vous croyez que ça les a arrêté ? Nenni !! On lui tira 2 décharges  d’arquebuse dans la figure, pendant qu’un autre lui poussait son épieu dans la bouche, et on le laissa agoniser par terre. On ouvrit la fenêtre, et on cria à de Guise, resté en bas : « Il est mort ». Mais Guise ne le crut pas, et demanda qu’on jette le corps par la fenêtre. Ce qui fut fait. Alors, on se jeta sur le cadavre, on le déshabilla, on l’émascula, on le dépeça (un peu), on le décapita beaucoup, et on le jeta dans la Seine. On récupéra le corps plus tard, et on le pendit par les pieds au gibet de Montfaucon. (On le brûla, sans doute, un petit peu, aussi. Fallait être sûr qu’il était mort !! … (On savait vivre en ce temps là …!!).

     

          Et ce fut le début du massacre de la Saint Barthélémy, ainsi nommé parce qu’il eut lieu le jour de la saint Barthélémy. (Etonnant Non ?). Ce jour là donc, les protestants furent « zigouillés», et on jeta tout par les fenêtres. … On prétend que Charles 9 aurait dit : « Tuez les tous ! Qu’il n’en reste pas un pour me le reprocher ! ». (Ou quelque chose d’approchant, je cite de mémoire. Pour les vrais détails, reportez vous au film : La reine Margot, avec Adjani).

     

          Cet épisode peu glorieux de la con’s story, eut l’heur de tourmenter le roi Charles. Il tomba malade, il avait la trouille que le diable vienne le tirer par les pieds, et finalement il mourut dans son lit des suites d’une pleurésie consécutive à une tuberculose. Et non pas d’un empoisonnement, comme auraient voulut le faire croire certains « catos » mal intentionnés. Du coup, Ambroise Paré fit une autopsie pour le prouver. … (Et Christophe Hondelatte n’a pas pu faire son émission : «Faites entrer l’accusé !»)

     

          Et rongé plus par la tuberculose que par le remord, Charles 9 s’éteignit un beau jour de 1574. (Enfin, ce ne fut pas un si beau jour pour lui !). Il avait désigné son frère Henri d’Anjou pour lui succéder. Alors qu’on s’apprètait à crier : « Vive le Roi ! », on se rappela soudain que Henri avait été élu roi de Pologne. Il était là-bas, il fallut donc le rappeler. Riton qui préférait le trône de France à celui de la Pologne, ainsi que les jupes de Marie de Clèves, sa favorite, revint toutes affaires cessantes. Et en septembre, il fut couronné et sacré roi de France sous le doux nom de Henri 3.

     

          Alors, celui là, je le connais par son goût prononcé pour les habits précieux, les parfums, les boucles d’oreilles et les mignons. Bref, il avait un aspect, disons, un peu efféminé, sans être, pour autant, de la jaquette flottante. (Enfin à ce qu’il paraît). Ceci dit, avec ses mignons, il jouait beaucoup au bilboquet, c’était même, paraît-il, un champion. On a dit, mais ce devait être des mauvaises langues, que les mignons servaient de boule au jeu du bilboquet. (Ragots de cour que tout cela ??? That is the question, comme on dit «outre-Channel» !).

     

       En tout cas, sous son règne, il y eut beaucoup de guerres de religion. (Il me semble avoir entendu qu’on les a numérotée jusqu’à 8 !). Enfin toutes ces guerres furent entrecoupées de trêves, comme d’hab, qui toutes ont débuté par un édit qui donnait, aux réformés, le droit de célébrer leur culte. Toutes ces trêves ne plaisaient pas à certains catholiques, dont le clan des « Guise ». Toujours la même famille. Cette fois le patron, pour ne pas dire le « parrain », s’appelait Henri de Guise. Henri 3 ayant eu la trouille que Henri (de Guise) ne  voulu le faire assassiner, il monta une embuscade au château de Blois. Il demanda à de Guise de venir le rencontrer, et là il le fit trucider par 45 de ses «lesbires », comme dirait mon copain Michel. C’est à ce moment là que Henri 3 prononça cette phrase restée dans les mémoires : « Il est encore plus grand mort que vivant ! ». (Et pourtant on lui avait pas tiré dessus !)

     

          Pour finir, comme il n’avait pas d’héritier, il désigna  un lointain cousin pour lui succéder : Henri de Navarre. Le hic, c’est que Navarre était protestant. Il y eut donc encore des frictions, cette fois avec les catos. Les deux Henri s’allièrent, ils durent un temps quitter Paris. Quand ils reprirent du poil de la bête, qu’ils revinrent sur Paris,  un moine nommé Jacques Clément, poignarda Henri 3. Ce dernier, avant de mourir, eut le temps de désigner Navarre pour lui succéder. Il faudra que celui ci se convertisse au catholicisme, pour pouvoir régner. C’est ce qui lui fera dire : « Paris vaut bien une messe ! ».

     

          Navarre deviendra roi sous le nom de Henri 4, et ce sera le premier roi de la dynastie des Bourbon. (Pas le whisky !!).

     

          A partir d’Henri 4, les rois vont se succéder de père en fils, ça va devenir plus simple. (Surtout pour ma mémoire).

     

     

     

    p.s. Je voudrais ajouter un mot au sujet de Montaigne qui vécut au 16 ième siècle. J’ai longtemps cru que c’était un joueur de rugby. En fait c’était un écrivain, il a publié des « Essais », et il paraît que ça n’a rien à voir avec le rugby… !!!

     

    Ouf ! C’est tout pour aujourd’hui.

     

    A suivre !

     


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    Chapitre 22.

     

     

     

          Dites les gars, (euh, … les filles aussi), je m’aperçois que j’ai oublié de vous parler d’une connerie essentielle et monstrueuse, qui s’est passée durant la période de la Renaissance, à savoir la, (ou les) Réforme. Et ça, c’est une belle connerie. Je vous raconte en gros.

     

          Avant cette époque, tout le monde, en occident, était de religion catholique. C’était le Pape qui commandait tout ça. (Il est sensé être l’héritier de Simon-Pierre le bras droit du « p’tit » gars nommé Jésus. Vous vous souvenez ?). Ils étaient marrants les papes, ils avaient des prénoms rigolos : Grégoire, Léon, Benoît, Clément, Julien, Bonniface, Pie (hi,hi, hi ! Mon préféré : Pie 7), Jules … etc,…etc. Bref, c’étaient eux qui dirigeaientt la pensée de tout le monde.

     

       Et bien figurez vous que ça a fini par déplaire à certains, et on a vu naître de la contestation, y compris dans les rangs de l’Eglise elle-même. (Ah mais !). C’est ainsi qu’un nommé Luther, (pas le jazzman, lui, c’était Claude), en Allemagne, puis un nommé Calvin, firent scission d’avec l’Eglise catholique et fondèrent le protestantisme. Alors ne me demandez pas la différence avec les catholiques, parce que, à part qu’ils ne veulent plus du pape et qu’ils ne reconnaissent pas la sainte Vierge, (ce dont je ne leur tiens pas rigueur), le reste m’est passé par-dessus la tête. En gros, plus de curés, mais des pasteurs qui ont le droit de se marier, ceci explique peut-être cela !! Et puis ils ont des temples sans statues, enfin plein de bricoles comme ça qui font une énorme différence, et, évidemment, tout ça finira par des guerres. L’espèce humaine ne peut pas s’en passer !!!. (La conne).

     

          Et puis, il y a le cas particulier du roi Henri 8 d’Angleterre, vous savez, un des ennemis de notre François national. Lui, Henri, il voulait que le pape, je crois que c’était un Julien, annule son mariage avec Anne Boleyn, sous prétexte que la pauvre femme ne lui donnait pas d’enfants. Mais le Julien, il n’a pas voulu, parce que disait-il : « Ce que Dieu a fait, seul Dieu peut le défaire ». Il fallait être veuf, pour pouvoir prétendre changer d’épouse. Alors, Henri ne bricola point, il fit accuser Anne d’adultère, et on lui trancha la tête à la hache. Il paraît que quand le bourreau montra la tête d’Anne aux gens (le public venu assister au spectacle), elle ferma les yeux, et tenta de prononcer quelques mots, évidemment sans succès !!

     

       Le Henri se remaria, mais sans plus de succès pour les gosses sembla-t-il. Il se retourna vers le pape, mais, là encore, celui-ci fit la tête, ou plutôt non, il fit non de la tête. Alors là, Henri se fâcha tout rouge, il décida que désormais se serait lui, le roi, qui commanderait à l’Eglise, en Angleterre. Ah mais !!! Il inventa le divorce, mais apparemment il ne l’appliqua pas, puisqu’il fit décapiter à la hache 8 femmes. (Il était misogyne ou quoi ??). C’est peut-être lui, le modèle qui a servi pour le conte : Barbe bleue ! (je ne sais plus de qui c’est).

     

       Du coup, l’Eglise Anglicane était née. Et vous allez comprendre, pourquoi, avec tout ça, les Luthériens, les calvinistes, les anglicans,  les juifs… etc, …etc, …etc, pourquoi les hommes vont se battre. Il n’y a pas mieux que les religions pour foutre le bordel. (Et je suis poli.)

     

       En France, suivront les guerres de religion, et on les a numérotées comme les croisades. Vous voyez, l’histoire, ou plutôt la con’s story est un éternel recommencement. ….

     

          …1547, François 1er meurt de la syphilis ou d’une blennorragie : c'est-à-dire une chaude-pisse. (Peut-être refilée par Anne de pisseleu ?). Bref, le roi est mort ! Vive le roi ! Et c’est Henri d’Orléans, le fils cadet du père François, qui gagne le pompon, puisque son frère aîné, François lui aussi, est décédé. Il devient Henri 2 ce jour là. Son règne commence par les obsèques nationales de son père, ça a duré pratiquement un mois !! Henri 2 avait épousé Catherine de Médicis, une sacrée bonne femme …, comme nous le verrons. Auparavant, il avait fréquenté assidûment Diane de Poitiers, de 20 ans son aînée. (C’est elle qui s’occupa … gentiment du petit prince, une «Couguar» comme on dit aujourd’hui). Bref, elle resta sa favorite, même sous l’œil bienveillant de Catherine. De toute façon, Henri s’occupait de la reine, puisqu’elle eut 10 enfants dont 3 fils qui règneront. On avait inventé le ménage à trois.

     

       Sous le règne d’Henri 2, la bagarre avec les Habsbourg et Charles Quint continua, avec une alternance de victoires et de défaites. Grâce, notamment au connétable de Momenrency et à François de Guise, Henri ajouta à la couronne Calais et Boulogne, ainsi que les trois évêchés de Metz, Toul et Verdun. Verdun qui, 400 ans plus tard, sera le théâtre d’une boucherie en 1916. (Il aurait peut-être été plus subtil, de laisser Verdun tranquille, mais bon !). On notera toutefois qu’on perdit pendant ce temps, la Savoie et le Piémont. (Et oui, on ne peut pas tout avoir).

     

          Finalement, tout se passait bien pour le père Henri, jusqu’à ce jour de 1559 où il maria deux de ses filles. Il avait remis au goût du jour, les tournois de chevaliers. Il y participait même volontiers. Or ce jour de fête, il participa au tournoi organisé en l’honneur des mariées.  Bref, il y participa contre l’avis de la reine qui avait un mauvais pressentiment, et aussi contre l’avis de Nostradamus qui avait eu, lui, un mauvais présage. (Et oui, un pressentiment et un présage, ça n’est pas pareil, mais quand ça coïncide, … !!). Donc, ce jour là, la dernière joute du roi le mettait aux prises avec son ami le connétable de Monmorency. Au deuxième assaut, les cavaliers se heurtèrent violemment, le roi fut secoué, on l’abjura d’en rester là, mais Henri refusa. Au troisième assaut, la lance de Monmenrency pénétra dans le heaume du roi, à la hauteur de l’œil, et s’enfonça jusqu’au cerveau… !! Horreur malheur !!

     

       Malgré les efforts d’Ambroise, pas l’escargot du manège enchanté, mais Ambroise Paré, le chirurgien du roi, Henri décéda quelques jours plus tard. La fête avait tourné en eau de boudin. …(de Mortagne au Perche).

     

          Ce roi fut aimé de ses sujets, puisqu’on le pleura beaucoup, et que Joachim Du Bellay, (non Pinou, pas le frère Chim … !!!), et Ronsard, notamment, lui écrivirent épitaphe et oraison funèbre. Oui oui, c’est bien le Ronsart de la rose, celui là même qui a écrit : « Mignonne allons voir si la rose, qui ce matin est éclose … etc, etc,…etc. ».

     

          C’est bien beau la poésie, mais je me demande si sous le règne de Riri 2, on n’a pas commencé de persécuter les « réformés », comme ils disaient à l’époque.

     

         Bref, ce pauvre Riri 2 est mort au bout de quelques jours, dans d’atroces souffrances. Comme d’hab, on a crié : « Le roi est mort »,  on s’est tourné vers le dauphin, François, 16 ans, et on a crié : « Vive le roi !! ». A 16 ans, le gamin était en âge de règner. Il avait épousé l’année précédente, Marie Stuart, la reine d’Ecosse. (La pauvrette aura un destin tragique, puisque sa cousine Elisabeth 1 d’Angleterre la fera couper en deux par la hache. Encore une belle, …eueueuh, …méchante !. (notez au passage, comme je reste poli !).

     

       Donc, le nouveau roi s’appelle François comme pépé. On lui donne le nom de François 2. (Pépé ayant été le premier père François). Ce petit père François là, était de santé fragile, il ne dura pas longtemps. Il régna 1 an, mais sous son règne, on pourchassa joyeusement les protestants, les huguenots, et autres cathares. J’ai entendu parler d’une conjuration fomentée par des nobles, dont un prince de Condé… ! (c’est un début, les Condé vont se faire remarquer par leurs « ourdissements » contre les rois). On a appelé ça : la conjuration d’Amboise. Ne me demandez pas de quoi il retournait, je ne le sais pas trop. Sans doute le Condé voulut-il jouer à « Iznogoud » !! Il voulait être roi à la place du roi. Ça s’est terminé par la pendaison d’une bonne partie des conjurés aux murs du château d’Amboise.

     

          Voilà, puis le petit père François 2 mourut un jour de 1660, peut-être de la tuberculose. (Il ne courait pas autant la gueuse que le Papé).

     

     

     

    A SUIVRE …

     


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