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          Et si Marine Le Pen appelait ses adhérents à voter Poisson aux primaires de la droite, qu’arriverait-il ? … Jean Frédéric Poisson pourrait bien être le candidat de la droite aux élections présidentielles, et être au second tour contre la Marine Nationale !!!!

     

    Ça ne serait-il pas drôle ça ???

     

    Brrrrr ! … Ça fait peur !!!! … (Quelle drôle d’idée !)

     


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    Un texte écrit sous l’emprise d’une forte émotion, (le 13 novembre dernier), par Pinou : notre fils bien aimé à Tsitsi et à moi.

     

    Cours, Oscar, cours.

     

     

     

    Ce soir nous sortons Oscar et moi. Dehors la nuit est là, il fait étonnamment bon pour un soir de novembre. La soirée sera belle et joyeuse, Car, ce soir,Oscar et moi

     

    Nous sortons.

     

     

     

    Dans le métro qui nous emmène, nous regardons les station défiler, Nous parlons et rions.

     

    Station République, nous descendons. Nous montons les escaliers.

     

    Ce soir, Oscar et moi, Nous sortons.

     

     

     

    Il es 20 heures, le groupe joue dans une heure.

     

    A la terrasse d’un café, Oscar et moi, Nous buvons Un dernier thé glacé.

     

    Par téléphone nous envoyons un dernier sms A maman, un dernier cliché,

     

    car ce soir Oscar et moi, Nous sortons.

     

     

     

    Devant les portes Du Bataclan, nous arrivons Entourés des autres fans. Nous chantons.

     

    Ce soir c’est la fête, tout le monde est joyeux, tout le monde est heureux.

     

    Car ce soir, Oscar et moi, nous sortons.

     

     

     

    Près de la scène, nous nous installons. A oscar je dis : « Mets tes bouchons ! ». Oscar ne veut pas :«Papa, je veux profiter du son ». « Tu n’est pas raisonnable oscar »

     

    « Oui mais papa, ce soir, Nous sortons ».

     

     

     

    Le groupe joue depuis quelques temps, la musique envahit nos tympans. Puis c’est alors que, brusquement,… PAN, PAN , PAN, de courts et sourds claquements Couvrent le miaulement Des guitares étincelante. Des flashes jaillissent des canons.

     

    Ce soir, Oscar et moi, nous sortons.

     

     

     

    Des corps s’écroulent, les coups résonnent. Des cris affreux montent de ce piège infernal. Un homme prend la main d’Oscar, mon chérubin. « Part avec ce monsieur ! Cours Oscar !cours ! Ne te retourne pas ! »

     

    Car ce soir, Oscar et moi, nous sortons.

     

     

     

    « Cours Oscar ! cours ! »

     

    Ma jambe droite s’affaisse, j’ai mal, je me baisse, j’attends qu’Oscar disparaisse, mais je crie toujours : « Cours oscar Cours ! Cours oscar  Cours ! ». Puis j’entends De nouveau ce claquement.

     

     

     

    « Cours Oscar cours ! La douleur est trop forte, Papa n’atteindra pas la porte. Les larmes inondent mon visage. Tout mon corps est en nage.

     

    « Cours Oscar cours ! » Mon enfant a franchi la porte. « Ne te retournes pas ! Cours avec ton escorte ! »

     

     

     

    « Cours Oscar cour !, Ne te retourne pas ! Surtout ne regarde pas L’horreur qui est derrière toi. !

     

     

     

    La dernière salve retentit. La dernière douleur ressentie. « Oscar, embrasse bien fort

     

    ta maman ! Oscar, embrasse bien fort ta maman ! … La famille, Je vous aime !

     

     …Cours, Oscar, cours ! … « Cours très loin de ce vendredi sanglant.

     

    « Ce soir, Oscar et moi, Nous sortions, …  pour la dernière fois.

     

     

     

               Pinou : un parisien parmi tant d’autres.

     

     

     


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  •       Je commence à en avoir marre de ce salopard de blog !!! Pas moyen de trouver la bonne ligne pour écrire les commentaires !!! Si ça continue, je m'en vais retourner sur blogourt où ça marche encore et où il existe une grande simplicité d'utilisation ! Et tant pis si j'y suis tout seul !!!!

    Et oui, je fait une colère et un caca nerveux !!!!

            Emil Antic... (-onnarde de plateforme


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                                         Chapitre 2 : La Con-naissance.

     

     

     

          Et non, le Paradis, ça n’allait pas durer. Mais que se passa-t-il donc ? …

     

    C’est du coté des grands singes que le chamboulement allait se produire, les soit-disants plus intelligents. (Déjà une discrimination).

     

    Donc, un jour, dans une troupe de ces grands singes il y eut la naissance d’un individu bizarre. Au début ses parents ne se rendirent compte de rien, il était aussi emmerdant que ses congénères, il faisait le zouave comme les autres, tirant la queue de maman, cherchant des poux dans la tête de papa, et n’était pas le dernier pour les bêtises, dans ce domaine il faisait même preuve d’une ingéniosité sans pareille. Il avait aussi une habitude bizarre : de temps en temps, il marchait debout sur ses pattes arrières. « Un vrai couillon votre petit, madame » disaient les copines de maman.

     

    C’est quand il arriva à l’âge adulte qu’il montra réellement sa différence. Cela se passa un jour où la tribu, ayant gaulé des noix, il s’en trouva une qui résista à toutes les tentatives d’ouvertures. Y compris à la poigne de fer du père. Alors, on la jeta au loin. (c’est quand même pas une noix de merde qui va faire chier le monde, se dit le père). C’est à ce moment là que se produisit le premier symptôme de la connerie, d’après moi, car les anthropologues vous diront que c’est la première manifestation de l’intelligence. (Ouais, et bien on verra ce qu’ils en ont fait de l’intelligence !!!).

     

    Donc, la noix en question était tombée à quelques pas de là et le rejeton dont je vous ai parlé, est allé la récupérer. Le pithèque, comme le nommèrent les anthropo-paléon-tologues, posa cette foutue noix sur une pierre plate, et à l’aide d’un caillou, il frappa dessus avec violence. La noix, sans doute pour avoir la paix, éclata et s’ouvrit devant les yeux ébahis de toute la troupe. Le jeune couillon venait d’inventer le marteau et l’enclume. (Et presque le parti communiste, mais ceci est une autre histoire).

     

    En plus, il se mit à pousser des cris bizarres, mais vraiment bizarres. A une époque où l’on entendait que des « Grrrr ! » des « grrouou ! » des « Abreu ! » et même des « wouf ! » ou des « graou ! », et bien lui il fit :  « vous avez vu ça les gars ? ». Autant vous dire que ça a jeté un froid, car, à l’invention des outils, il venait d’ajouter celle du langage. Ce fût une journée épuisante pour notre «Einsteinopithèque». … De lui, nous n’avons pas retrouvé  le moindre ossement. Dommage, car dans son A D N peut-être y aurait-il eu trace du Gène, … la preuve de la con-naissance. (Autrement dit : la naissance de la connerie !)

     

          Tout ce que nous savons ensuite, c’est qu’apparut, alors, une nouvelle race de grands singes qui marchait debout, et ils « parlaient » ou ils communiquaient entre eux par un langage borborigmique. Et, parmi eux, il y avait les fils d’ « Einstein Pithèque » : Australo et Cerco, (non pas Sarco, Cerco : C e r c o !!). (Qui a dit Sarko ? … ). … Bref, ce sont eux qui, avec femmes et enfants, partirent courir le monde. Mais lentement : ils marchaient debout, et bruyamment, ils baragouinaient deux trois mots. Bref, ce n’était plus des singes, mais pas encore tout à fait des hommes.

     

    On a retrouvé des traces de leur passage en Ethiopie où l’on a découvert, il y a plusieurs années, les restes d’une femme qu’on a appelée : « Lucy » … A ce sujet, une anecdote : pourquoi l’a-t-on nommée Lucy ? Et bien c’est simple. Lors de la découverte des ossements de cette «femme», de son crâne, est sorti un scarabée, (en anglais : beatle), qui chantait un tube que l’on entendait à longueur de journée sur une radio périphérique bien connue, dans l’émission : SLC, Salut les Coppens et qui avait pour titre : Lucy in the sky !!!

     

    …Elle est considérée comme la femme la plus vieille de l’humanité.

     

           Les savants s’accordent pour dire que ce sont bien Australo et Cerco (pas Sarco ! enfin !) Pithèque qui ont peuplé les 5 continents.

     

          Le temps passa, quelques milliers d’années, et nous voilà arrivés à l’époque des âges farouches. C’est la période des familles Néanderthal d’abord, puis nos ancêtres directs à nous, je veux parler de la famille Magnon, la lignée du grand Crô dont l’un des fils, Rahan, fut immortalisé par un auteur de bandes dessinées que l’on a retrouvé dans des grottes préconnhistoriques. Le titre est «Rahan le fils des âges farouches.» (Mais c’est surtout le fils de Crô !).Les Magnon sont véritablement ce que l’on appelle des hommes. Ils marchent debout avec aisance, et ils possèdent un langage, frustre certes, mais ils ont plusieurs mots que l’on a pu déchiffrer. Par exemple : mêçavapaduré, ypourêbin, salutoaçava, ivafêrebô, lamatela, tombédelô, pamalétoi, danlasoiré. … !!! …   On n’a pas pu déchiffrer le sens de ces mots, il y a sans doute un ordre mais on ne l’a pas trouvé. (Peut-être un lecteur attentif … le pourra-t-il ?).

     

    A suivre …

     

    NDLA 1 :  Il paraît qu’en 2005, dans le désert du Kalahari en Afrique, on a retrouvé des restes humanoïdes. Et ce seraient les plus anciens ossements humanoïdes connus à ce jour. Et bien je crois qu’ils ont retrouvé le père «Pithèque», peut-être même «Einstein Pithèque» lui même. !!!. … Allez savoir ! On aura peut-être bientôt le fin mot de la «connhistoire» … … Finalement !!

     

    NDLA 2 : Tout ça n’empêche que Lucy reste, à ce jour, la femme la plus vieille de l’humanité.

     

    NDLA 3 : Pour les béotiens, (mais il n’y en a pas parmi mes lecteurs !), Yves Coppens est un des plus grands paléo-anthropologues du monde.

     

     

     


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    Préambule :

     

          Dans cette rubrique intitulée : la CON’S STORY, je vais vous narrer, à ma manière, l’histoire de l’espèce humaine, (en particulier en France), et de ses conneries !! J’en aurai sans doute oubliées (des conneries), et parfois j’ai fait des écarts entre la réalité et ma fiction. Cependant j’ai essayé de me documenter autant que faire se peut, et je compte sur vous pour rectifier les «rares» erreurs que j’aurais pu commettre.

     

    Bonne lecture. HOP ! C’est parti pour 60 chapitres !!!

     

     

     

    Chapitre 1 : La Précon-naissance.

     

     

     

                Il y a des millions d’années, que dis-je ?  Des millions et des millions d’années, dans un coin de l’univers, il y eut une explosion, une sorte de « big bang ». Et là apparut une nouvelle étoile qu’on appela : le Soleil. Hors, il se trouva que cette étoile fut entourée de résidus cosmiques qui en s’agglomérant donnèrent ce que, beaucoup plus tard, d’aucuns nommèrent : les planètes.

     

    Sur les neuf boules qui tournaient autour du soleil, il s’en trouvait une qui était d’un bleu intense, un bleu fort joli …(Ce bleu était dû au fait que sur cette boule là, il n’y avait pratiquement que de l’eau !). Et bien c’est sur cette boule bleue qui fut appelée plus tard : Terre que tout a commencé.

     

    Avançons un peu dans le temps (quelques millions d’années), et dans l’espace, et regardons ce qui se passe sur la terre.

     

    Au commencement, comme dirait l’autre, il y eut les volcans. Mais pas de petits volcans comme on en voit aujourd’hui, non, des monstres énormes qui crachaient des monceaux de lave, et des tonnes de gaz que vous ne pourriez pas respirer aujourd’hui, et pour cause, ils n’existent plus. Bref, tous ces volcans qui émergeaient de la mer, finirent par fabriquer les continents. Puis, il y eut une accalmie, et la planète redevint plus calme, la poussière se dissipa et le soleil réapparut.

     

    Alors, du fond des âges et des mers, (quel beau zeugma !), émergèrent des algues, elles couvrirent pratiquement toute la surface des océans. A ce moment là, la planète bleue est peut-être devenue la planète verte. (C’est Noël Mamère, Daniel Cohn-Bendit, Nicolas Hulot  ou Yann Artus Bertrand qui auraient été contents).

     

    Alors, mes mignons, que se passa-t-il ? Je vous le donne en mille émile, et bien les algues firent ce que font tous les végétaux, elles absorbèrent le gaz carbonique, et elles rejetèrent de l’oxygène … !! (ça vous la coupe ! hein ?).

     

    Vous voyez le tableau, au bout d’un moment, environ quelques millions d’années, (une paille au regard de l’âge de l’univers), le gaz carbonique avait presque disparu, et l’atmosphère telle que nous la connaissons aujourd’hui, enfin presque, était apparue. (Azote, oxygène, et quelques gaz rares). La vie pouvait commencer. … ! (c’est pas une chanson de Johnny !).

     

    Sur terre il y eut d’abord les arbres, puis dans la mer apparurent les poissons, puis un de ces poissons fut rejeté par une tempête sur une plage, où il faillit mourir. Mais plus malin que ça, il se laissa pousser des pattes, et finalement la vie posa le pied sur la terre ferme.

     

    Quelques millions d’années plus tard, (à cette époque on ne s’embarrasse pas avec les millionnaires), les dinosaures avaient colonisé toute les terres émergées. Ce fut une époque bénie. On était bien entre dinosaures, on folâtrait, on mangeait ce qui nous tombait sous la patte, on se reproduisait tranquillement, on pondait, nous, Môssieur. Bref, à part qu’il fallait faire attention aux carnivores (mais il faut bien que tout le monde vive), on coulait des jours paisibles. Pas un humain à l’horizon pour venir nous emmerder  ! . Malheureusement ça n’allait pas durer.

     

    Hélas oui, encore quelques millions d’années, et puis la catastrophe qui allait sonner le glas de tout ce bel édifice construit à grand peine par la nature, allait se déclancher . …….. !!

     

    Que se passa-t-il exactement ? Mystère.

     

    Fût-ce un astéroïde qui percuta la terre au niveau du golfe du Mexique ? Ou bien fût-ce l’éruption d’un gigantesque volcan dans l’océan Indien, ou encore les deux réunis ? … Les scientifiques se perdent encore aujourd’hui en conjectures. (Alors, nous, vous pensez si on patauge !!). Toujours est-il que cette catastrophe, quelle qu’elle fût, enroba la terre d’un nuage de poussière si épais que le soleil ne pouvait plus ni éclairer le monde, ni le réchauffer. Alors tout gela, et tous les dinosaures disparurent. … snif ! (Vous pouvez le dire : snif !).

     

    Ce fut probablement la fin des jours heureux, car maintenant plus rien ne pourra enrayer le cours du destin qui va conduire la planète irrémédiablement vers la connerie humaine. …. !.. !

     

    Encore quelques millions d’années, et le nuage de poussière se dissipe. A ce moment là, la mer est pratiquement saturée en bestiole de toutes sortes, vu que ce sont les seules qui réussirent à échapper à la tragédie.

     

    Bon il y a aussi le mystère des oiseaux qui sont les descendants des dinosaures, mais probablement parce que des œufs ont été congelés et puis ont éclos quand le temps fut redevenu plus clément.

     

    Bref, les habitants des océans qui se trouvèrent trop serrés dans l’eau, (un peu comme des sardines en boîte), décidèrent, comme leurs ancêtres, de prendre nageoires sur la grève. (Ils n’avaient pas encore de pieds). Encore quelques moments, (longs, on a le temps), et puis les espèces se modifièrent, d’abord des reptiles, des insectes, des invertébrés, des vertébrés, (ceux la ils devaient être contrariants déjà), etc, etc, et puis enfin le fin du fin les mammifères.

     

    A ce moment là, tout allait bien. Tous ces êtres vivants se côtoyaient gentiment, tous vivaient en harmonie, et la vie coulait des jours paisibles ; jusqu’au jour où … Mais n’anticipons pas.

     

    Donc, en résumé, à cette époque, nous avions sur terre : des végétaux en quantité suffisante pour renouveler l’atmosphère, des animaux de toutes sortes vivant tranquilles et puis c’est tout. Bref, c’était le Paradis.

     

    Cela n’allait pas durer.

     

    A suivre …

     


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