•    Je reviens de blogourt, et figurez vous que mon blog existe encore, que les vôtres aussi !!! Certains sont vidés, mais d'autres ont toujours leurs articles ! Je me demande si blogorama, fort de son inexpérience, serait incapable de fermer la baraque ! S'il y a des nostalgiques, vous pouvez toujours essayer d'aller voir.


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          Vous vous rappelez de votre naissance, vous ? Non n’est ce pas ! Et bien moi non plus ! Cela tend à prouver que tous les psy…trucs et tous les psy…choses, plus ou moins atteints de psychose, (et oui, les couillons ils ne le savent pas !), donc, tous ces couillons qui nous disent que la naissance est un traumatisme, (ils parlent même d’un « énôôôrme » traumatisme), n’en savent absolument rien. Personne ne se souvient de ce traumatisme. S’il y en avait un, on s’en souviendrait, non ? … Par contre  c’est sûrement un traumatisme pour les mamans, elles se souviennent de notre naissance, mais elles ne se souviennent pas de la leur. Vous verrez qu’un jour, ils installeront une cellule psychologique pour nouveaux-nés dans les maternités, et ce d’autant plus que l’anesthésie péridurale ne leur a pas permis d’installer une cellule psy pour les mamans !!!

     

          Bon, revenons à ma naissance. En ce 19 novembre, vous ai-je dit que je suis né le jour de la fête nationale de la Principauté de Monaco ? Oui ! Bon, enfin, un petit coucou à Albert. Bref, ce 19 novembre là, dans la nuit, maman fut prise par les premières contractions. On était en 1947, presque la préhistoire des maternités. (Oui, et bien ce n’est pas la peine de rigoler. Je sais que la moyenne d’âge sur les blogs avoisine la puberté, ce n’est pas la peine de croire que je suis gâteux sous prétexte que je vais atteindre l’âge canonique de 69 ans cette année. Non mais ! De mon temps, on respectait les anciens !). Mais je m’égare, je m’égare, et j’ai laissé maman en posture délicate. Donc, dans la nuit, maman ressentit les premières douleurs, on était en 1947, les maternités n’existaient pas, les hôpitaux étaient rares et lointains, surtout quand on habitait un petit village d’à peine 800 âmes. En ce temps là, on accouchait chez soi, aux bons soins du médecin de campagne et de famille par la même occasion. (Tiens, un beau zeugma !). Du coup, Papa appela le toubib, et Maman accoucha à la maison, à l’ancienne avec les linges propres et la bassine d’eau chaude. Pas de péridurale, pas de sage-femme, pas de halètement de chien. (Il n’y avait pas de cours d’accouchement sans douleurs). Comme je l’ai déjà dit, à cette époque, on accouchait « à l’ancienne ». En ce temps là, les femmes expiaient la faute originelle, vous savez ? Dans le temps, au Paradis ? Mais si !! Rappelez vous : la pomme, Adam qui la bouffe, sur les conseils plus ou moins éclairés d’Êve. Et puis Dieu, le patron, fâché qui chasse le couple de chapardeurs du Paradis en fustigeant Êve et lui disant : « Tu enfanteras dans la douleur !! ». (Il ne savait pas le bougre, que 10.000 ans plus tard, un gugusse inventerait la péridurale !!).

     

          Je m’égare encore ! En tout cas, ce matin là, vers 6 heures et demi, Maman mit au monde un très très beau bébé : Moâ ! Je ne garde pas un souvenir extraordinaire de ce jour, J’ai du, comme tout le monde, me retrouver la tête en bas, suspendu dans la main du toubib, et j’ai du recevoir la traditionnelle claque sur les fesses. (La première d’une longue série !). J’ai du crier, non, j’ai du hurler à en faire péter les tympans de mes chers parents, sans oublier le toubib, mais lui il l’avait mérité, c’est lui qui a commencé, c’est lui qui m’a frappé. Non mais ! D’ailleurs, s’il y a un traumatisme à la naissance, c’est sûrement la claque sur les fesses. Parce que l’histoire que racontent les psys… choses, cette histoire que le traumatisme serait dû au passage de la vie intra-utérine, à la vie extra-utérine, c'est-à-dire d’un milieu chaud, douillet, (pas David), et protecteur, à un environnement hostile. Tu parles ! Comme si le nouveau-né savait que cet environnement est hostile. Et puis, ils ne se rappellent pas, mais si on réfléchit un peu, la vie intra-utérine n’est pas si douillette que ça, vous vous imaginez vivre en circuit fermé dans le siphon des toilettes. Le liquide amniotique dans lequel baigne le poupon avant sa naissance regorge des déjections du petit amour, et en plus, il n’a pas intérêt à respirer !! Alors à tout prendre … ! Et puis aux jours d’aujourd’hui, le traumatisme serait plutôt dû au hurlement qui est le premier son qu’entend le nouveau-né, à savoir le fameux : « Poussez Madame ! Poussez Madame ! Poussez ! ». Cette phrase hurlée par une sage-femme hystérique me semble bien plus de nature à traumatiser un nourrisson. Enfin, moi, j’affirme que ce n’est pas la naissance qui m’a traumatisé. C’est probablement autre chose, mais n’anticipons pas.

     

                                                      Emil Antic …(et antédiluvien !)

     


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    La langue française est riche ! Dommage que beaucoup de ces verbes soient tombés dans l’oubli !

     

    Le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache.

     

    L'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage. Les moineaux piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse. La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse. Et le chat comme le tigre miaule, l'éléphant barrit, l'âne braie, mais le cerf rait. Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille.

     

    La biche brame quand le loup hurle. Tu sais bien sûr, tous ces cris-là. Mais sais-tu que si le canard nasille, les canards nasillardent. Que le bouc, ou la chèvre chevrote. Que le hibou hulule, mais que la chouette, elle, chuinte, que le paon braille. Que l'aigle trompète.

     

    Sais-tu que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule, que la perdrix cacabe, que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit. Tu sais tout cela ? Bien. Mais sais-tu que l'alouette grisolle, tu ne le savais pas. Et, peut-être, ne sais-tu pas  davantage que le pivert picasse. C'est excusable ! Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère !

     

    Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule, et je ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule, ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue. Qu'importe ! Mais c'est joli. La huppe pupule.

     

    Et encore sais-tu que la souris, la petite souris grise : devine ! La petite souris grise chicote ! Oui. Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote, et, plus dommage encore, de ne pas savoir, que le geai, cajole. !!!!

     

     

     

     

    La langue française est riche ! Dommage que beaucoup de ces verbes soient tombés dans l’oubli !

     

    Le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache.

     

    L'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage. Les moineaux piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse. La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse. Et le chat comme le tigre miaule, l'éléphant barrit, l'âne braie, mais le cerf rait. Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille.

     

    La biche brame quand le loup hurle. Tu sais bien sûr, tous ces cris-là. Mais sais-tu que si le canard nasille, les canards nasillardent. Que le bouc, ou la chèvre chevrote. Que le hibou hulule, mais que la chouette, elle, chuinte, que le paon braille. Que l'aigle trompète.

     

    Sais-tu que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule, que la perdrix cacabe, que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit. Tu sais tout cela ? Bien. Mais sais-tu que l'alouette grisolle, tu ne le savais pas. Et, peut-être, ne sais-tu pas  davantage que le pivert picasse. C'est excusable ! Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère !

     

    Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule, et je ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule, ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue. Qu'importe ! Mais c'est joli. La huppe pupule.

     

    Et encore sais-tu que la souris, la petite souris grise : devine ! La petite souris grise chicote ! Oui. Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote, et, plus dommage encore, de ne pas savoir, que le geai, cajole. !!!!

     

     

     


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  •       Je pédale dans eklablog comme dans le cassoulet-choucroûte de Ginette ! Alors, si quelqu'un, ici-bas, peut me donner un coup de main pour ne serait-ce que d'inscrire des amis, les suivre ou en faire des favoris ou tout autre chose concernant ce que blogorama appelait : "la communauté", et bien celui-là aurait ma reconnaissance éternelle. Car voyez vous, là, tout seul dans mon coin, ... excusez moi, ... JE M'EMMERDE !!!!!!

          Qui que vous soyez, soyez-en remercié d'avance !

                 Emil Antic... (-onnerie d'explications à la noix !)


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  • Des nouvelles de ma santé, pour ceux que ça intéresse.
    Il y a 5 mois, Tsitsi m’a sauvé la vie en prévenant le SAMU de l’infarctus qui venait de me frapper, ce qui a eu pour conséquence de me payer un petit voyage en hélicoptère jusqu’au centre hospitalier le plus adéquat vu mon état.
       A la suite de ce stage hospitalier, un protocole de soin a été mis en place et après quelques tâtonnements médicaux, il fut décidé de m’implanter un défibrillateur ! … Ce qui fut fait le 3 février dernier.
       Ce petit appareil, pas plus gros qu’un briquet Zipo, est installé sous la peau, sur le pectoral gauche et est connecté au cœur par 3 sondes  chargées de détecter soit un arrêt du cœur, (fibrillation), soit un disfonctionnement des contractions d’icelui, (arythmie). Si l’un de ces symptômes se produit, le boitier déclanche alors, soit une décharge électrique en cas de fibrillation, soit une correction du rythme cardiaque. Autrement dit, mon avenir dépend d’un « briquet » ! … En plus, ce boitier est relié,,, téléphoniquement,  au centre implanteur,par l’intermédiaire d’une ‘box » informatique spéciale, installée sur ma table de nuit. Ce système est chargé d’envoyer les informations sur la santé du boitier à qui de droit, c'est-à-dire au centre implanteur. En conséquence de quoi, je doit trimballer cette box avec moi lors de mes déplacements. (Désormais, elle fera partie de mes bagages lors de week-ends, vacances ou tout autre déplacement comprenant une nuitée !)
       Voilà ce qui change ma vie. Je ne dois pas m’approcher des plaques à induction, (en fonctionnement, ne pas stationner sous les portiques des aéroports, (j’ai une autorisation accrochée à ma carte d’identtité, parcontre je peux traverser les portiques qui se trouvent aux entrées des magasins, on ne stationne pas dessous ! (J’ai intérêt à éviter les embouteillages !!)..
                                         Emil Antic (-onnerie d’infarctus !)


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