• Sortie à Paris! (le 04/11/2010)

    Clap clap clap clap clap clap clap clap !!!!
    « Ouf c’est fini !
    « C’était bien, hein Ginette ?
    « Ouais Lucette, mais fait chaud !! … Pfouououou !
    « C’est vrai Ginette, mais c’était bien !
    « Ouaiaiais ! Allez grouillez vous Lucette, qu’on sorte de çette fournaise !
    « Ça y est Ginette, y z’ont ouvert les portes, on sent un courant d’air.
    « Et ben c’est pas trop tôt. Allez on y va !
    « En route Ginette.
    « Raaaaah ! … Luceeeette !!
    « Quèsqu’y y a ?
    « Aidez moi à me lever, j’ai les genoux coincés ! … C’est trop petit leur truc là !
    « Comment que vous avez fait votre compte Ginette ?
    « Comment j’ai fait comment j’ai fait ? … Ben je m’suis assise tiens, et comme c’est pas grand, j’ai les genoux coincés contre le fauteuil de devant !! Donnez moi la main !
    « Hoooo hisse !!!
    « Tirez bon sang !!
    « C’est ce que je fais Ginette, mais …
    « Tirez j’vous dis !!!
    « C’est que vous êtes trop lourde pour moi Ginette !
    « Trop lourde ? Trop lourde ! J’t’en ficherais moi ! C’est quand même pas mes 60 kilos qui vous font peur ! Mauviette  va!!
    « 60 kilos ? Tu parles !
    « Quoi ?
    « Rien Ginette. … Raaaaah ! Haaaan !
    « Ça vient Lucette, continuez !
    « Ho Hiiiisse !! … Aaaaaaaah !
    CRAAAAAC !!!
    « C’est quoi ce bruit ?
    « C’est rien Ginette, c’est le fauteuil.
    « Quèsqu’il a le fauteuil ?
    « Je crois bien qu’il a eu un problême Ginette.
    « Le fauteuil ? C’est pas grave alors. J’ai cru que c’était ma blouse. Une blouse des dimanches, ça aurait été un désastre. Elle a rien, … hein Lucette ?
    «Hein ? … Eueueuh, … non ! Allez Ginette, on y va !
    « J’arrive ! … Aaaaaaah ! On est mieux debout, et puis je sens l’air. Ouf !
    « Et ben dites donc, y en a du monde ! On est pas sorties.
    « Mais si Lucette, ça avance, regardez !
    « Là oui ! Mais faut que je récupère mon manteau Ginette, et au vestiaire, ça avance pas !
    « Quèsque vous aviez besoin aussi de donner votre manteau au vestiaire ? Au prix où sont les places !
    « Ben vous avez vu qu’y avait pas de place pour lui !
    « Ouais, mais vous aviez qu’ à faire comme moi, vous asseoir dessus !
    « Je voulais pas gêner les …
    « Oh mais ça m’aurait pas gênée Lucette. D’ailleurs est ce que je vous ai gênée moi ?
    « Moi non Ginette, mais les gens de derrière …
    « On s’en tape Lucette ! Mais maintenant , va falloir que je vous attende. Et dans cette chaleur encore !
    « Vous avez qu’ à m’attendre dehors Ginette.
    « J’y compte bien. Tâchez de pas traîner hein !
    « Je vais faire mon possible. A tout de suite Ginette.
    « Ouais ! … Hééééé poussez pas derrière ! Vous m’avez marché sur la godasse !
    « Pardon madame. Mille excuses !
    « Ouais bon, ça va pour cette fois. … Luceeette ! Je vous attends là-bas !
    « D’ac… Ginette ! Je vous rejoins.
    ***
     « (Què-squ’ elle fout ? Presque tout l’monde est sorti. Elle va quand même pas sortir la dernière ! Ah je vous jure cette Lucette, insortable).
    « Me voilà Ginette !
    « Ah ! Et ben c’est pas trop tôt ! Quèsqu’y vous est arrivé encore ?
    « Y retrouvaient pas mon manteau Ginette ! J’ai cru qu’on me l’avait volé.
    « Voler un truc pareil ? Ma pauvrLucette, votre pelure là, personne en voudrait !
    « Oooooooh Ginette ! C’est pas une pelure, c’est un manteau en lapin retourné.
    « Et ben vot’lapin, il aurait mieux fait de retourner d’où qu’y venait ! Y sortait d’un rosier ou quoi ?
    « Pourquoi ?
    « Pasque j’ai jamais vu de lapin rose ! Et y le retrouvaient pas son manteau ? … Rose comme ça, y devait pas y en avoir beaucoup. … Allez venez Lucette, on va boire une bière à une terrasse pour se rafraîchir le gosier que jai particulièrement sec !
    « C’est une bonne idée Ginette, à la terrasse, on va pouvoir regarder passer les gens dans la rue, y a longtemps que je suis pas revenue à Paris.
    « Aaaah c’est vrai que vous êtes une parigote vous ! … Tiens mettons nous là, on va être bien. Surtout qu’y fait pas froid.
    « Ça c’est vrai Ginette.
    Crac !
    « C’est quoi encore ce bruit ?
    « Ça doit être la chaise qui se plaint Ginette…
    « Ho ho ho ! Vous êtes drôle Lucette ! Une chaise qui se plaint, elle est bien bonne !
    « Oui hi hi hi !
    « Quèsque vous prendrez Lucette ?
    « Beeeen, eueueueuh, … je sais pas trop.
    « Ça c’est tout vous ! Incapable de savoir çeque vous voulez.
    « Maiaiaiais, … !
    « Prenez donc un d’mi comme moi !
    « Vous croyez ? Moi je préfère une bouteille.
    « Et ben alors, prenez une bouteille bon sang ! … GARÇON !!
     « Moins fort Ginette, on nous regarde.
    « Et alors ? … GARÇON !! … Quèsqu’y fout ?
    « Il est peut-être occupé Ginette. Ooooooh vous avez vu la voiture ?
    « Laquelle ? Y en a plein.
    « La décapotable là-bas !
    « Là-bas où ça ?
    « Là-bas Ginette, elle est décapotée ! Vous le croyez ça ?
    « Ben une auto décapotable décapotée, c’est plutôt normal Lucette. Non ?
    « Oui Ginette, mais on est à la Toussaint Ginette ! Et normalement, y fait pas chaud pour le décapotage.
    « Des autos Lucette, des autos ! Parce que pour le reste, …Ho ho ho !
    « Qu’est ce que vous voulez dire par là ?
    « Rien rien Lucette, je me comprends !
    « Et ces dames, elles prendront quoi ?
    « Hein ? … Oh ah oui ! Un demi pour moi, et une bière pour la petite dame là.
    « Une pression et une bière ? Quèsqu’elle veut comme bière la petite dame ?
    « Eueueueuh, …
    « Elle veut une 16 !
    « Ça marche ! … Une pression et une 16 !!!
    « Voilà ! Aaaaaaah on va prendre notre pied Lucette.
    « C’est quoi une 16 ?
    « Une kro Lucette ! Ça va vous faire du bien.
    « Oh regardez Ginette !
    « Quoi ?
    « Les filles là !
    « Ouais, alors ?
    « Et ben vous avez vu comment elles sont habillées ?
    « Ben normalement Lucette. Quèsqu’elles ont ?
    « Vous avez pas vu ?
    « Quoi ?
    « Ben elles sont en minijupes avec des collants troués !!!
    « Et alors ? Moi je suis comme ça tous les jours !
    « Ouiii, mais y paraît que ça, c’est le dernier cri à la mode pour les jeunes !
    « Ah ben alors, jesuis à la mode moi avec mes mi-bas troués pour tous les jours ! Tiens, zut !
    « Quèsqu’y y a Ginette ?
    « Et ben mon mi-bas là, il est troué au genou ! Je suis sûre que c’est au théâtre qu’il a été percé !! Raaaah les sagouins avec leurs rangées de fauteuils trop étroites !!
    « C’est pas grave Ginette.
    « Comment ça pas grave ? Une paire de mi-bas du dimanche en fil de soie naturelle, vous vous rendez pas compte ! … De la soie Lucette !!!
    « Bof, vous savez, ma grand-mère avait des rideaux pareils. Et puis maint’nant, vous êtes à la mode Ginette. Vous devriez percer l’autre. Hi Hi Hi !
    « Oh ça va vous hein !
    « Et voilà pour les petites dames. La 16 c’est pour qui ?
    « Pour Lucette, et la pression c’est pour moi.
    « Je vous donne l’addition aussi ?
    « Non, ça c’est pour Lucette. Ho ho ho !!
    « Hein ?
    « Ouais, c’est vous qu’avez eu l’idée.
    « Maiaiais …
    « Ça vous fera 8,50 !
    « Bon … Voilà.
    « Merci ma petite dame.
    « Oooooh Lucette, regardez le zigue là, il a des chaussures à roulettes !
    « Des chaussures à roulettes ? Mais non Ginette, c’est des rollers !
    « Des rouleurs ? Cékoiça ?
    « Beeen, c’est comme des patins à glace, mais avec des roues.
    « Et ben ça doit pas être facile d’aller sur la glace avec des roues. Quand y a d’la neige à Potinville, je sors pas ma voiture moi !
    « M’enfin Ginette, c’est étudié pour !
    « Etudié  pour quoi ?
    « Ben pour aller sur les trottoirs tiens, sur les trottoirs, ça roule en marchant.
    « Vous vous foutez de moi ? Ça roule ou ça marche. Si ça roule, ça marche pas et lycée de Versailles !
    « Mais si, ça roule en marchant, et on va plus vite. Vous voyez, il est déjà rendu loin, on le voit plus.
    « Et ben y a des trucs bizarres ici Lucette ! C’est comme mon demi là.
    « Votredemi ! Quèsqu’il a votre demi ?
    « Ben j’en ai bu la moitié, et maintenant, il en reste plus !
    « C’est parce que vous avez tout bu Ginette !
    « Vous croyez ?
    « C’est tout cru, parole de Lulu.
    « Et tiens c’est quoi ce truc ?
    « Quoi donc ?
    « Cet hurluberlu là ? C’est quoi ?
    « Un clochard Ginette, un pauvre clochard.
    « Il en tiens une bonne ! … A propos Lucette, je prendrais bien un riche café moi, maint’nant que je suis désaltérée. Vous voulez qulque chose ?
    «Non merci Ginette, ma bière me suffit.
    « GARÇON ??
    « Oui madame ?
    « Vous faites des riches café ?
    « Je vous demande pardon madame ?
    « Pardon ? Mais pourquoi ? Vous m’avez pas marché sur les pieds.
    « Je voudrais juste savoir ce que madame prendra madame.
    « Madame prendra rien, mais moi je désire un riche café, s’il vous plaît.
    « Ginette, le monsieur veut savoir ce que c’est qu’un ‘riche café’.
    « Ben c’est un café avec du whisky tiens !
    « Aaaah je vois. … Monsieur, madame désirerait un irish-coffee. En faites vous ?
    « Parfaitement madame, je vous l’apporte tout de suite.
    « Comment que vous avez appelé ça Lucette ?
    « Un irish-coffee Ginette.
    « Un ‘Ail riche cofi’ ? Mais y a pas d’ail dans mon café à moi !
    « C’est comme ça que ça s’appelle en Irlande où c’est qu’on le fabrique Ginette.
    « On les fabrique en Irlande !! … Et ben il est pas prèt d’arriver alors ! … J’aurais du prendre autre chose.
    « Mais non Ginette, vous allez l’avoir incessament sous peu !
    « Ah ?
    « Oui oui Ginette, vous allez voir. A Paris, on trouve de tout !
    « C’est comme à la Samaritaine alors ?
    « Parfaitement Ginette. … Tiens, qu’est-ce que jevous disais, le voilà !
    « Waaaaouh ! Alors ça, c’est formidable. Vive Paris Lucette !
    « Voilà madame. Ça vous fait 9 euros 50.
    « Hein ??? NEUF50 ?
    « Oui madame.
    « Et ben mon colon, c’est pas donné. Lucette ?
    « Non non Ginette, c’est vous qui l’avez commandé, c’est vous qu’allez le boire donc c’est vous qui lepayez !
    « Rrrrrr !... Bon, … voilà.
    « Merci madame, au plaisir.
    « Au plaisir ? Quèsqu’il a voulu dire par là ? J’ai pas payé avec plaisir. Non mais !
    ROAAAARRRRR !!
    « C’est quoi ce bruit ?
    « C’est un scooter Ginette, ici, y en a plein !
    « Un quoi ?
    « Un scooterr, c’est  …
    « Un scout … quoi ?
    « Un scooter Ginette, pas un scout !
    « Alors qu’est-ce que vous racontez avec votre scout ?
    « C’est pas un scout, c’est un engin comme une petite moto, vous voyez Ginette ?
    « Non je vois pas. Vous dites que c’est un scout sur une moto ?
    « Meueueuh non Ginette, un scooter, c’est une petite moto, on peut monter dessus comme sur un vélomoteur, ou une mobylette !
    « Et ça serait réservé aux scouts ?
    « Pas spécialement Ginette, … Tiens, en v’là un autre !
    « Où ça ?
    ROAAAAARR !!
    « Là, vous voyez ? Là !
    « Ce truc qui fait tant de bruit ?
    « Oui Ginette, c’est ça un scooter.
    « Et ben vous avez raison Lucette, c’est pas pour les scouts.
    « Ah bon ?
    « Ben oui Lucette. De mon temps, les scouts, Ils emmenaient pas les filles comme ça sur leur vélo. Vous avez vu la godelurote derrière le scout ?
    « Ben oui Ginette, quèsqu’elle a ?
    « Comment ça quèsqu’elle a ? Mais elle a la jupe qui lui remonte jusque’à … Jusqu’à, … ç’qu’on devrait pas voir !!! Vous vous rendez compte, on dirait une de vos espèces de ceintures Lucette !
    « Mais c’est la mode des jeunes ici Ginette !
    « Et ben elles doivent pas avoir bien chaud les filles ici. De mon temps, …
    « Votre temps est révolu Ginette, tout a changé.
    « Ouais, mais … RAAAAAAH … AÏE AÏE AÏE !!!!
    « Quèsqu’y vous arrive Ginette ?
    « Raaaaaah Lucette ! Je me suis brûlée la goule !
    « Comment ça ?
    « Ben avec le café pardi ! Ouillouillouille !
    « Comment que  vous avez fait votre compte ?
    « Ben c’est mon riche café. J’aspirais tranquillement avec la paille, tout en remontant vers le haut, pour profiter du sucre, du whisky puis du café. Et c’est là, quand j’suis arrivée dans le café que je m’suis brûlée ! Le café, il est trop chaud Lucette !
    « C’est normal Ginette, c’est un irish-coffee, le café doit être chaud. Attendez un peu, ça va refroidir.
    « Je m’en doute triple buse ! En attendant j’ai la goule en feu.
    « Ça va passer, c’est pas grave.
    « Pas grave !!!! … On voit bien que c’est pas votre goule Lucette ! … Aaaaaaaah !
    « Oh tiens regardez Ginette !
    « Quoi ?
    « Le gars là, il a plein de percings.
    « Qui ça ?
    « Lui là, avec la fille en moumoute. Oh mais … !
    « Quoi ?
    « Ben la fille Ginette, elle a que sa moumoute sur le dos ! Regardez moi ça, c’estune honte ! On voit, … on voit !! Roooooh !
    « Je sais pas ce que vous voyez vous, mais je me doute de ce que vous imaginez. Elle est décente, au moins autant que votre jeannette de tout à l’heure. Y a pas à vous offusquer.
    « Ma Jeannette ? Quelle Jeannette Ginette ?
    « Ben la copine du scout tiens, sur la moto tout à l’heure. Les copines des scouts, c’est bien des jeannettes, non ? Vous devez savoir ça vous qu’êtes fourrée avec les dames patronnesses de la paroisse de Potinville. … Slurp ! Hmmmmm ! Ça a refroidi, maint’nant c’est à mon goût.
    « M’enfin Ginette, ça lui arrive au ras des fesses !
    « Et alors, vous avec vos stringues, c’est pas mieux ! Au moins la fille là, elle a de belles gambettes, c’est pas comme vos quilles ! Et puis y paraît que c’est la mode des jeunes.
    « Rooooooh !!! … Oui mais y a mode, et mode.
    « Aaaaaaaah ! Cékoiça ?
    « You want a rrrose ?
    « De quoi ? … C’est qui ça ? … Y me fourre des roses sous lenez ! Y m’a piquée.
    « A rose Ma’ame ?
    « Raaaah ! Ôtez moi ça d’là ! Vous m’avez griffé l’nez !
    « Ginette, c’est un étranger qui vend des roses aux gens pour se faire de l’argent.
    « Un étranger ? C’est pas une raison pour me défigurer ! Je saigne maint’nant, j’aurais l’air malin demain à Potinville !
    « Mais vous pouvez acheter une rose Ginette.
    « Non Lucette, y a pas écrit pigeon là. Elles sentent rien ses roses, vous avez qu’ à en prendre une vous !
    « OK ! Yes mister, give me one.
    « Quèsque vous dites ?
    « Je lui dis que je ui en prends une.
    « Vous avez dit ça en quel charabia ?
    « Ben en anglais pardi ! Il parle anglais Ginette.
    « SLURP ! … Et c’est quoi le… eueueuh,  ‘glais » ?
    « C’est une langue parlée par les Anglais.
    « Aaaaah  oui! … Hips ! … Je me disais aussi … !
    « Quoi donc ?
    « Que j’avais entendu ça quelque part Lucette.
    « Et où ça Ginette ?
    « Hips ! … Et ben au Hard Rock Café Lucette, juste en face là, de l’autre côté de la rue, la seule fois où je suis venue à Paris. J’étais jeune en ç’temps là, mais j’ai connu le riche café là-dedans ! … Hips ! J’en ai gardé un très, mais alors un très bon souv’nir !
    « J’en doute pas Ginette. Allez, on rentre à l’hôtel, vous avez peut-être un peu trop forcé sur la chantilly !!!! … En route !!!!!

    « Ouille ouille ouille !!!!Gros pépin ??? »

  • Commentaires

    1
    Lundi 7 Mars 2016 à 16:06

    C'est vrai que la première fois que l'on débarque à Paris quand on vient de Province on est un peu déboussolé.

    On marche lentement dans les couloirs de métro par exemple et puis au bout de quelques jours on court comme les parigots et on se fait même pincer les doigts pour ne pas rater la rame!

    Allez l'Emil on est mieux chez nous!

    2
    Lundi 7 Mars 2016 à 17:40

    Comme si on y était.

    Pas idée, aller à Paris pour prendre un irish coffee...

    Cela mis à part c'est bien bon, un irish coffee!

    Erwin 

    3
    Lundi 7 Mars 2016 à 20:54

    elles auront du mal à s'intégrer aux parisiens money. faut sortir de votre trou de Potinville  (mdr)

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    4
    bébéturbulent
    Mardi 8 Mars 2016 à 09:04

    Paris, c'est bien sauf qu'il faut sortir le porte-monnaie toutes les deux minutes,

    et quand tu rentres le soir, tu peux le mettre dans ta poche facilement,

    il est beaucoup moins épais qu'à l'aller.

    5
    Mardi 8 Mars 2016 à 19:35

    Quelle idée saugrenus d'emmener tes nunuches à Paris! Elles vont se faire remarquer! Enfin, ça distraira les parisiens!

    Bises

    Gigi

    6
    Vendredi 11 Mars 2016 à 10:33

    Quand les provinciaux arrivent à Paris, il leur arrive toujours de drôles d'aventures, alors les deux mémés qui arrivent du trou du cul du monde, elles doivent se sentir un peu perdues!

    Passe une belle journée

    Amicalement

    Claude

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